Bientôt les fêtes de fin d’année…Pensez à vos cartes de vœux (physiques & électroniques)

Pour vos meilleurs clients, rien ne remplace une vraie carte de vœux, postée avant, pendant ou après les fêtes.

La carte de vœux est plus qu’un simple geste commercial. Elle est un élan du cœur, une pensée particulière pour entretenir la relation.

La promotion SABINA Advertising comprend:

Prix CHF 1’299.- HT

pour 400 cartes de vœux personnalisées et avec les enveloppes

N’attendez pas la fin du 2ème semestre pour commander et appelez-nous au 021 616 41 41 ou envoyez un e-mail à office@sabina.ch

Ça y est : Ils, elles sont spécialistes RP !

Notre directeur Samuel F. Blunier est également intervenant au SAWI dans la formation de Spécialiste en Relations Publiques SAWI.  Il prépare également les participantes et participants au brevet fédéral de Spécialiste en Relations Publiques

Ici, avec la volée 2020-2021, lors de répétitions et le training de cas pour le Brevet Fédéral de septembre dernier. La motivation était au max et…ça paie !!

Les examens sont derrière (ouf !) et le succès à la clé 😊 BRAVO à toutes et tous.

Spécialiste en Relations Publiques SAWI + Préparation au brevet fédéral de Spécialiste en Relations Publiques

selfcare@home : un concours qui vous veut du bien(-être).

On observait la semaine dernière une minute de silence en Suisse. On rendait alors hommage aux première victimes de la COVID, disparues pour les premières d’entre elles il y a tout juste un an. Et dans ce brouhaha d’hygiénisme, de complotisme ou de libéralisme qui fatigue davantage qu’il ne laisse espérer, le constat est simple : nous venons de vivre une année de silence. Alors certes, tous allaient de leur petite opinion, souvent en accord avec leur orientation politique bien choisie. Cohérence ou non, retournements de veste ou solide mauvaise foi, dans tous les cas ça a fait du bruit et ce ne sont ni les médias, ni les politiques, ni même les professionnels de la santé qui nous contrediront.

Rassurez-vous, ces décibels ne sont qu’une façade. Une façade destinée à « masquer » la vérité. Douze mois plus tard, on ne sait toujours pas à qui profite(rait) le crime, comment s’est défendu avec une telle vigueur le satané virus, et si notre écosystème magnifiquement déréglé nous réserve d’autres surprises pour les décennies à venir. Ce que l’on sait en revanche, c’est que nous avons été réduits au silence. Sommés de rester chez nous, obligés de limiter nos interactions sociales et souvent interdits de manifester. Des enseignements sont à tirer de cette crise et de nombreuses habitudes de consommation sont à intégrer dans notre quotidien. Pas seulement pour reprendre dès que possible une vie normale, mais aussi pour construire une nouvelle normalité, moins favorable notamment au développement de virus inédits, et protégeant davantage les conditions de travail de nos marchands locaux, premières victimes d’une vie provisoire complètement digitalisée, déshumanisée. 

Pour rendre les journées de l’une ou de l’un d’entre vous légèrement plus passionnantes, de même que pour encourager la consommation de certains produits et contenus de qualité, nous avons décidé de nous associer à Lausanne Food pour faire gagner un pack « selfcare@home » d’une valeur totale de plus de CHF 900.-. Dans ce pack pour le moins conséquent, le grand gagnant trouvera bon nombre de prix : un avoir de CHF 200.- valable dans n’importe quel restaurant en livraison, une année d’abonnement à la plateforme de streaming pour cinéphiles MUBI, une année d’abonnement à Soundcloud Go+, 6 mois d’abonnement au quotidien indépendant Le Courrier, un programme de remise en forme / préparation physique avec RLInterval, ainsi qu’un bon de CHF 50.- valable sur la plateforme Fleurop.

Pour participer et pour soutenir notre démarche, nous vous invitons à nous rejoindre ainsi que @lausannefood sur Instagram. Toutes les conditions de participation figurent sur nos publications. Nous vous souhaitons bonne chance et nous réjouissons de vous recroiser très vite sur une terrasse chauffée et on l’espère, dans une réalité quelque peu différente. 

sabina swiss shoutout : avec Swiss Typefaces, la typographie suisse continue de rayonner à l’international.

Dans le discours populaire, la Suisse fait souvent l’objet d’allusions à une certaine lenteur, à un manque d’initiative et à une propension à suivre innocemment le travail de ses voisins. Que ses frontières, aussi étroites soient-elles, empêchaient ses résidents d’y être inspirés, encore moins d’y être inspirants. Par la présentation de contre-exemples aussi notables que divers, nous avons souhaité mettre à mal, par le biais d’une série d’articles, des stéréotypes qui restent installés même dans un monde digital exempt de démarcations territoriales. Ceci, en vous offrant la possibilité de découvrir ou de redécouvrir certains dignes héritiers du « style suisse », presque 70 ans après que celui-ci ait conquis les plus grandes capitales européennes et mondiales, avec ses logos et ses polices de caractères si reconnaissables, emplis de Nouvelle Vague et de Pop art notamment. À raison de quelques lignes par mois, nous mettrons  alors en lumière celleux qui font de la scène artistique helvétique ce qu’elle est en 2020, à savoir un savant mélange d’héritage dans un pays de graphisme et d’innovations se nourrissant des apports culturels d’une mixité qui fait aujourd’hui la richesse créative de la Suisse.

Notre pays regorgeant aujourd’hui’hui de talents dans les sphères alternatives et artistiques, c’est que notre système de formation publique invite encore souvent – contrairement à ce que l’on peut observer dans d’autres pays parfois limitrophes – des étudiants issus de toutes les couches sociales à se former et à se développer dans un cadre de qualité (et d’égalité ?), en suivant les traces des quelques Max Miedinger, Adrian Frutiger ou encore Josef Müller-Brockmann, initiateurs parmi tant d’autres de ce courant aussi connu sous le nom de « style typographique international ». Reconnaissable au premier coup d’oeil, il véhicule précision, fluidité, fonctionnalité, des caractéristiques qui lui ont permis de s’imposer au delà de ses frontières et qui, comme son nom l’indique, séduit de Istanbul jusqu’à Hong-Kong, en passant par Paris. Des logos et surtout des fontes apportant une vision parfois froide du réel, qui ont pour but de délivrer, grâce à un sens du détail prononcé, une information avec justesse. L’incontournable Helvetica en demeure encore aujourd’hui le symbole, avec ses traits si purs, universels, qu’ils font briller depuis plus d’un demi-siècle aussi bien le métro new-yorkais que des marques telles que McDonalds, Tupperware ou même Evian.

Avant de parler au présent, rappelons encore que le style suisse n’a pas toujours fait l’unanimité. Il a ainsi connu un déclin dans les années 70, certains le jugeant trop sévère, d’autres comprenant qu’une tendance de cette ampleur suscite inévitablement lassitude et oppositions. Plusieurs décennies plus tard, il semble reprendre ses droits, profitant notamment d’une abondance de styles ayant fait leur apparition ces dix voire vingts dernières années, des suites de l’avènement du digital et de ses innombrables comme très accessibles possibilités. Un paysage créatif plus libre, plus dense et parfois plus extravagant, pour le meilleur comme pour le pire, nous a rappelé que les applications fonctionnelles et l’élégance intrinsèque du « style suisse » avaient encore beaucoup à offrir. Longtemps localisé entre Zürich et Bâle, le noyau dur du mouvement se situe désormais aux alentours de Lausanne, où l’ECAL dispense depuis le début des années 2000, et sous la supervision de François Rappo, des cours exclusivement dédiés au dessin typographique, qui voient pléthore de jeunes talents éclore et perfusionner de sang frais le style de tout un pays.

C’est de descendants directs de ce renouveau prenant son essor en Suisse romande qu’il est ainsi question dans ce premier volet de sabina swiss shoutout. Basés sur la Riviera, c’est à Vevey précisément, que les créateurs de la « Suisse Int’l », police de caractères que nous avons choisie pour l’ensemble de notre charte graphique inaugurée en 2018, ne cessent de se développer depuis plus d’une dizaine d’années maintenant. Si Ian Party, l’un des deux co-fondateurs du studio, a récemment quitté le navire pour se consacrer à son projet Newglyph (qui fera certainement l’objet d’un futur article sur ce blog), Emmanuel Rey continue de s’atteler à la tâche, toujours assisté d’un certain Maxime Plescia Buschi, second co-fondateur de Swisstype Faces et artiste-entrepreneur doté d’un CV qui suffirait à alimenter nos pages plusieurs mois durant. Pour fuir le complexes, on ne citera ici et pour ce dernier, que quelques collaborations avec Hublot et l’ouverture de plusieurs salons de tatouage au succès planétaire. Le Suisse frustré ironisant sur le présupposé faible retentissement des créations helvétiques à l’étranger jugera ceci acceptable.

Avec aujourd’hui dans leur catalogue plus d’une dizaine de familles de fonts, l’entreprise revendique une approche aussi bien esthétique que technologique, et s’applique à constamment innover et à chasser l’ennui, en conservant l’héritage et le style d’un pays qui a fabriqué parmi les plus grands typographes du XXème siècle. Dans leur offre on retrouve bien entendu la Suisse Int’l, pouvant être perçue comme étant la progéniture, la modernisation, l’évolution de la célebrissimme Helvetica, pendant que leur étals digitaux laissent se démarquer bon nombre de styles plus difficiles à catégoriser, plus expérimentaux. C’est certainement cette frange de leur travail qui leur vaut aujourd’hui leur réputation mondiale, puisque c’est cette ouverture sur le monde, cette curiosité, et ces innombrables influences (musique, street culture, mode, tatouage, beaux-arts, etc…), couplée à des décennies de finesse, qui symbolisent finalement si bien la Suisse d’aujourd’hui et justifient le plein essor de tout un mouvement artistique que les hautes écoles, studios créatifs et autres collectifs, pouvant compter sur des membres toujours plus curieux et investis, ne font qu’alimenter.

En 2020, les designs signés Swisstype Faces s’exportent sur des affiches, des montres, des avions ou des vêtements. Emploi du temps chargé, ils participent le lundi à la sortie d’une collection textile, le jeudi mettent à jour une fonte avec l’arrivée d’une version en cyrillique, avant de participer, le dimanche, au développement du clip d’un rappeur de leur ville. Un gage de crédibilité mondiale d’un côté, la preuve d’un travail éclectique et pluridisciplinaire de l’autre, pour nos compatriotes devenus en quelques années seulement de véritables inspirations pour les artistes de nos contrées. Le choix pour notre identité corporate, d’une typographie de leur production, nous était alors apparu comme une évidence, puisqu’au-delà de l’admiration que nous leur portons, l’un de nos graphic designers ayant pris part au projet était diplômé de l’ECAL et avait ainsi eu, dans le cadre de son cursus, l’opportunité d’évoluer aux côtés des fondateurs de Swisstype Faces qui interviennent ou enseignent régulièrement dans ce même établissement régulièrement classé parmi les 10 meilleures écoles d’art et de design au monde. Notre équipe, dont la directrice artistique Sabine Blunier est elle-même issue de l’École des Beaux-Arts de Lausanne (actuelle ECAL), partageait avec les Veveysans ces valeurs saines, oscillant entre un conservatisme assumé et une vision ô combien perméable aux évolutions sociétales, artistiques et technologiques. 

Voilà deux ans que nous avons fait le choix d’afficher la Suisse Int’l sur notre logo, sur notre site web, sur nos courriers ou sur nos créations digitales. Qu’en dire à l’aube d’une nouvelle année, si ce n’est que ce choix n’a pour l’heure jamais fait l’objet d’un seul doute, d’une seule critique, aussi bien au sein de notre open space qu’une fois l’Avenue du Mont-d’Or passée, dans ce grand bain d’anxiété, de ras-le-bol et de remise en question que la COVID a créé. C’est certainement bon signe.

J. Lin

Le temps de toutes les solidarités

Un virus frappe. Un peu plus vicieux que les autres.

Alors le monde soudain s’affole et se voit contraint de respecter des directives dont certaines nous semblent parfois incompréhensibles ou contradictoires.

Nous nous écharpons pour savoir si nous devons dire le ou la Covid, si les décisions prises par les gouvernements sont les bonnes, si les frontières doivent rester ouvertes ou non, nous sommes très inquiets quant aux conséquences de cette pandémie et bien d’entre nous se demandent s’ils vont pouvoir conserver leur emploi ou arriver à maintenir à flot leur entreprise, et dans ce délire parano-tourbillonnant, nous avons tendance hélas à oublier les plus fragiles comme les plus démunis. Celles et ceux qui sont hospitalisés bien sûr, le corps médical qui les assiste et tous ceux que la pandémie isole soudain chaque jour un peu plus.

Je pense aux anciens colocataires handicapés de feu ma sœur, bouclés dans leur institution et privés – comme nous tous – du sel de la vie à savoir : culture, sorties, spectacles et concerts de toutes sortes.

Je pense à nos compagnons de route et amis, restaurateurs, coiffeurs, tenanciers, artistes de tout bord qui, soudain à nouveau désœuvrés, foulent les feuilles mortes qui jonchent les trottoirs en se demandant si leurs activités pourront survivre à l’hiver 2020-2021 et pour qui le mot « télétravail » ne veut simplement rien dire…

Alors ne serait-il pas temps de mieux regarder autour de nous ? D’adresser à celles et ceux que nous croisons encore au quotidien, un mot gentil – puisque désormais les sourires sont masqués – une marque d’empathie voire un tuyau concret permettant de les aider à contacter le bon organisme, le bon service de l’Etat ou simplement les aider à se connecter sur ces sites internet qui foisonnent et avec souvent personne à qui parler, à qui expliquer son malheur ?

En ce mois qui précède Noël et les fêtes de fin d’année, la question n’est pas « que ferons-nous à Noël et avec qui ? » la vraie question est une réponse : le temps de toutes les solidarités doit bel et bien commencer.

Samuel F. Blunier

Marketing et communication 2020 : ce que la COVID-19 a changé

La crise due au nouveau coronavirus a frappé les entreprises de marketing et communication de plein fouet dès le mois de mars 2020, et cette dernière est encore plus dévastatrice pour les entreprises dont les activités étaient majoritairement tournées vers les secteurs de l’évènementiel.

Il ne faut pourtant pas se voiler la face, c’est tout le secteur qui, depuis déjà 2 ans, traverse une crise sans précédent. Et en y regardant de plus près, on se rend compte qu’il ne faut pas attribuer cette dégringolade et le grand rebrassage des cartes qui s’en suit, uniquement à l’effet COVID.

Depuis déjà 2018 et 2019, les grandes entreprises comme les PME restent perplexes devant la stratégie à adopter et il leur est difficile de ne pas céder aux sirènes du tout numérique avec, en point de mire, des promesses des géants GAFA, toujours plus alléchantes avec des offres sans cesse renouvelées, parfois à une vitesse qui dépasse l’entendement. Google revoit et repense ses algorithmes, Facebook change régulièrement de système de gestion, Instagram propose sans cesse de nouvelles fonction et TikTok, l’acteur chinois dont tout le monde se méfiait, est en train  de venir en détrôner plus d’un.

Et la communication dans tout ça? Si en France, d’importantes entreprises du paysage médiatique investissent chaque année plusieurs millions d’euros et ce, entre Google, Facebook et Instagram dans le seul but de tenter de convertir de nouveaux abonnés, alors quid de la communication traditionnelle ? Qu’il s’agisse d’affichage en milieu urbain, de publicités sur les chaînes de télévision, voire du mailing personnalisé, les besoins et envies des annonceurs ne sont pas toujours les mêmes et encore aujourd’hui un courrier, adressé à un coeur de cible bien défini, peut encore avoir son effet, surtout lorsqu’il est accompagnée par exemples d’une brochure ou d’un objet personnalisé.

La crise du coronavirus nous invite désormais à réfléchir avec encore plus d’empathie pour l’annonceur qui est prêt à investir un franc en publicité pour que ce dernier lui en rapporte deux.

Les marchés se sont complexifiés et les recettes que certaines agences appliquaient auparavant ne fonctionnent plus. Il s’agit plutôt de prendre en considération les changements de comportement des consommateurs et la décroissance annoncée, pour travailler au plus vite sur des segments-cibles bien définis et parfois même réfractaires à tout type de publicité et ce, parce que tout le monde est inévitablement sensible à un style d’image porteur de messages, de valeurs ou d’émotions. Un modèle de marketing-communication à 360 degrés est à réinventer, c’est certain. Avec du courage, de l’audace et une bonne dose de recul. Et les publicitaires passionnés que nous sommes doivent plus que jamais se retrousser les manches. Seules l’authenticité et une réflexion pertinente doublée d’une efficacité accrue subsisteront.

Samuel F. Blunier, Directeur de SABINA Advertising

Partenariat SGA: S’exposer dans des zones-cibles pertinentes et parfois à moindre coût

Sus aux idées reçues ! L’affichage extérieur a plus que jamais le vent en poupe et contrairement à ce que le digital souhaite nous faire croire, une campagne d’affichage locale n’est pas forcément coûteuse. L’agence SABINA Advertising a réalisé cette année un guide de l’affichage outdoor en Suisse avec l’aide de l’APG / SGA (Société Générale d’Affichage). Ce petit guide précieux pour tous les annonceurs permet, en un clin d’œil, d’avoir une idée des coûts par emplacement et par période de tous les supports d’affichage professionnels existants actuellement en Suisse.

Que ce soit pour de l’affichage lumineux, papier ou digital (sur des écrans par boucles de 10 secondes), l’annonceur peut planifier ses campagnes en toute simplicité ou directement faire appel à SABINA Advertising pour une stratégie média à tarifs préférentiels.

Quel est l’intérêt pour l’agence d’induire ce type de partenariat ?

Parce qu’elle possède, à l’interne, non seulement la force créative et les idées pour promouvoir des services ou des produits, mais aussi toutes les compétences techniques ainsi que les machines permettant la production de n’importe quel support, qu’il s’agisse de digital ou de print.

N’hésitez pas à prendre contact via le formulaire existant sur le site de l’agence, un guide sera envoyé à toute personne intéressée, aux annonceurs potentiels comme aux étudiantes et étudiants en marketing – communication.

Alors, envie d’être remarqué pour davantage de notoriété ?